L ‘intrigue se passe au dix-septième siècle.
Née à Nîmes en 1955, Myriam Morard passe son enfance dans les Cévennes, à Saint-André-de-Valborgne, puis elle vient s’installer à Vendres et tombe sous le charme de la région. Secrétaire de direction dans un laboratoire d’analyses médicales du Gard, elle se partage entre ses deux ports d’attache : Nîmes et la cité vendroise. Durant son temps libre, elle commence par écrire des poèmes et elle reçoit même le deuxième prix du concours printemps des poètes, en 2010 à Valras-Plage. En 2013, elle participe avec le club des auteurs du Languedoc-Roussillon, à un recueil de nouvelles : Légendes du Languedoc-Roussillon. Un an plus tard, sa nouvelle, Ultima Cave, est choisie et publié dans le recueil : Le vol de l’ange et autres nouvelles. C’est tout naturellement qu’elle publie dans la foulée son premier ouvrage, le Sortilège du blason, aux éditions Edilivre.
Devant le bon retour qu’elle a eu de ses lecteurs, elle publie aujourd’hui son deuxième roman : La légende d’Artus. Ce roman nous ramène au XVIIe siècle en Languedoc-Roussillon, lors de la construction du canal du Malpas. Jeanne et Artus vont être les principaux acteurs de cette histoire rocambolesque où la réalité se mêle au fantastique et où le rêve frôle le cauchemar. D’aventures en aventures on se laisse entraîner sur les traces de ces bâtisseurs des siècles derniers à travers les yeux de Jeanne. L’histoire se déroule donc autour du canal du Midi et plus précisément dans la zone du Malpas. D’ailleurs, la légende de l’ermite évoquée dans le livre existe bel et bien, mais l’auteure a voulu lui inventer une vie, un passé et une histoire d’après des faits réels, comme pour la construction du canal du Roy (le canal du Midi) par Pierre-Paul Riquet. Par la suite l’imagination a fait le reste…
Extrait du MIDI LIBRE