A la médiathèque Jean-Jaurès, Michel Garibal n’exposait pas moins de 45 de ses tableaux.
Des monuments connus couleur brique rose de la ville du même nom allant du Capitole à la basilique Saint-Sernin en passant par le pont Neuf ou le dôme de l’Hôtel-Dieu.
Des paysages guident aussi son travail, comme sa dernière réalisation du lac des Fontariès.
Une majorité d’expression classico-naïve où demeure l’indéfini du rêve qui l’accompagne.
Aux questions du président Pujol qui lui rappelait son admiration pour sa grande composition de 45 tableaux du canal du Midi, il assura qu’il appliquait de plus en plus la technique du glacis sur huile. «Opaque ou transparente, cette application qui prévoit un mélange d’huile et de térébenthine demande de la précision».
Présent l’adjoint culture à la communauté des communes, J. P. Lefloch repéra trois zones d’expo : la brique, la zone fraîcheur paysages et eau et la zone paysages maritimes (la fibre Bretagne resurgissant).
«Hélas non ce sont des paysages d’Irlande», rectifia l’artiste.
L’adjoint à la mairie Bruno Bousquet nota l’élégance de la cathédrale Sainte-Cécile qui n’a pas fini d’inspirer tous les talents. A voir jusqu’au 5 août.
YC
www.ladepechedumidi.com